Dramede la Première Guerre mondiale 1917 génère déjà beaucoup de discussions sur les réseaux sociaux. Le film Universal Pictures qui devrait sortir en salles le jour de Noël a déjà été projeté pour les critiques et ils l'ont tous comblé d'éloges. Il a actuellement un score de 94% sur Rotten Tomatoes.

Ils continuent de défrayer la chronique, et pourtant les grandes nations s'étaient engagées à s'en passer avant même que n'éclate la guerre de 1914-1918, dont nous fêtons le 100e anniversaire de l'armistice ce dimanche 11 novembre 2018. Dans l'univers apocalyptique des tranchées, alors que le conflit est enlisé, les gaz de combat deviennent l'une des hantises de toute une génération de soldats. La guerre chimique est née, mais elle ne permettra pas de sortir de la guerre de positions. Quand la Grande Guerre éclate, la convergence entre la chimie et l'industrie a déjà conduit, depuis longtemps, bon nombre d'esprits à s'interroger sur le fait que très vite, l'on risquait de voir apparaître un recours massif aux gaz de combat dans des conflits armés. Autrement dit, voir des protagonistes tenter d'empoisonner leurs ennemis pour les blesser ou les tuer, procédé vieux comme le monde, mais avec désormais un champ des possibles décuplé par la le procédé d'empoisonnement, à lui seul, indigne certaines âmes à un point tel que dès 1675, un premier accord bilatéral a été signé à Strasbourg par l’Allemagne et la France pour interdire l’utilisation de balles empoisonnées dans les combats. Aussi, à l'ère industrielle, les lois et coutumes de la guerre » se penchent tour à tour sur le sujet. Insidieux, frappant sans assez de distinction, menaçant les civils et les animaux, le gaz suscite l' Convention de Bruxelles tente d'interdire, en 1874, l'emploi de poison ou d'armes empoisonnées et l'emploi d'armes, de projectiles ou de matériel causant des souffrances inutiles. Accord non ratifié, mais complété en 1899 à La Haye, lors d'une conférence internationale de la paix - impulsée par le tsar en relation avec le pape - par une interdiction frappant l'emploi de projectiles chargés explicitement de gaz toxique les balles explosives y passent aussi.Ces discussions se déroulent 15 ans avant le déclenchement de la Première Guerre mondiale. Les 36 signataires semblent d'accord sur l'idée de s’interdire l’utilisation de projectiles dont le seul objectif est de diffuser des gaz asphyxiants ou délétères ». Seuls la Grande-Bretagne et les Etats-Unis refusent, parmi les grandes puissances, mais en 1914, toutes les parties prenantes au conflit naissant ont cette fois ratifié un nouveau texte du même une seconde conférence à La Haye, en 1907, l’emploi de poison ou des armes empoisonnées » est en effet banni par tous, comme le fait d’employer des armes, des projectiles ou des matières propres à causer des maux superflus ». Sauf que le poison a d'ores et déjà agi, car l'idée a germé. Elle a drainé avec elle la psychose, et le fatalisme de voir tôt ou tard l'adversaire y venir. Donc, la tentation de prendre les devants, à tout le moins pour pouvoir faut dire qu'à l'aune de ce conflit porté par les intérêts industriels, la chimie allemande impressionne. Les Français ne se privent donc pas de mener leurs propres recherches bien des années avant 1914. Ils utiliseront d'ailleurs des gaz lacrymogènes dès le début de la guerre. Des grenades chargées de bromacétate d'éthyle. Puis viendra la substance chloracétone. Entre temps, les Allemands s'y sont mis. Le but, utiliser ces gaz pour faire fuir l' avril 1915, ce jour est considéré comme le tournant. Le Daily Mirror qualifiera de diaboliques » les agissements de l'Allemagne sur le front des environs d'Ypres, ville belge de la province de Flandre occidentale. Bill Siebert, fils d'un membre du bataillon de gazage allemand, confiera des années plus tard Mon père n'en parlait pas volontiers. Il m'a juste dit qu'ils étaient prêts depuis un bon moment. Depuis plusieurs semaines. Mais la météo était mauvaise. »► Regarder un extrait du film Apocalypse la Première Guerre mondiale Œil pour œil, dent pour dent, la maxime européennePour superviser lui-même l'opération, Fritz Haber, juif allemand qui recevra le prix Nobel de chimie en 1918, avant d'être contraint à l'exil en 1933 et de mourir sur le chemin de la Suisse, a quitté le laboratoire qu'il affectionne d'ordinaire. Il est le tout premier scientifique, probablement au monde, à avoir endossé l'uniforme militaire pour mener une guerre au gaz ou à l'arme chimique contre un ennemi », confiera sa fille Eva Lewis à la télévision par la général Erich Georg Anton von Falkenhayn, qui est, après une carrière d'officier d'état-major faite de voyages en Chine, ministre de la Guerre de Prusse depuis 1913 et chef de l'état-major général depuis 1914, a lui-même suivi les recherches et assisté à des essais. En ce mois d'avril, alors que le conflit est enlisé, les Allemands lancent la première opération chimique offensive d'envergure, pour percer jusqu'à la Manche et couper les Anglais de leurs grandes quantités de toxiques, des tonnes et des tonnes de chlore, sont ainsi lâchées depuis des cylindres d’acier et portées par le vent vers les tranchées adverses. Mon père disait il faut un vent ni trop fort, ni trop faible. S'il est trop fort, il disperse trop vite le gaz. S'il est trop faible, le gaz ne bouge pas. Il disait que l'idéal, c'était un vent de 15-25km/h », relatera le fils Siebert. Les Allemands espèrent que le dispositif permettra de réactiver la guerre de positions. Fritz Haber croyait qu'en temps de paix, la science appartenait au monde entier, mais qu'en temps de guerre, elle devait servir pour son pays, sa patrie », selon sa fille Eva. Si les Allemands commençaient les premiers, cela leur donnerait un avantage qui pourrait écourter la guerre. Il était vraiment persuadé que cela écourterait la guerre », décrypte Mme Lewis, ajoutant que son père espère que l'ennemi fuira au prix de quelques vies témoignage de Joyce M. Kennedy, fils d'un de ces soldats canadiens dont Ypres aura servi de baptême de l'enfer, semble accréditer que de prime abord, le plan a fonctionné Ils n'y ont d'abord pas vraiment prêté attention. Il y avait alors plus d'étonnement que de peur. Mais lorsqu'ils ont vu les Algériens et les Français fuir, chanceler, tomber puis vomir la bave aux lèvres, et manquer d'air, ils ont pensé c'est autre chose. Là, ils ont pris peur et ils ont pris la fuite. »Le front cède. Mais la percée sera un échec. Ypres n'est pas prise, la progression vers la mer échoue, les avancées territoriales sont minimes. Les généraux prussiens ne profitent pas de la situation et les adversaires se réinstallent. En revanche, les pertes humaines par milliers convainquent Guillaume II de la réussite de l'opération. Haber progressera vite dans la hiérarchie militaire. Les Anglais, outrés, se résigneront à se lancer dans la guerre pour œil, dent pour dent, les Européens se lancent dans une course effrénée aux gaz, aux tests sur animaux, aux masques plus ou moins rudimentaires, d'abord trempés dans l'urine. Les écoliers s'habituent aux alertes, ils s'équipent aussi. L'industrie chimique, qui dispose de matières qui, en temps de paix, sont utilisées pour la peinture, la teinture et autres produits courants, collabore, ce qui laissera une trace indélébile jusqu'à nos jours sur certains grands course concerne la partie anglaise, française, allemande. Après avoir été cueillis à blanc dans ce cocktail chimique de plus en plus systématique, alors que l'obus est devenu le procédé privilégié pour charrier des substances toujours plus diverses et variées, les gaz moutarde et autres, les Américains s'y mettent aussi après leur arrivée. Dans cette guerre des nationalismes, la course à l'innovation chimique revêt une forme de supériorité nationale.► Notre webdoc Grande Guerre les batailles oubliées de l'Afrique » La guerre chimique reste d'actualité dans le monde actuelLes gaz traumatisent des soldats déjà réduits au statut de chair à canon dans ce conflit de l'ère industrielle. Ceux qui en subissent les effets, au niveau des yeux, sur leur peau, dans les viscères ; mais les autres aussi. Bon nombre diront d'ailleurs en avoir inhalés sans véritablement le savoir, rendant difficiles les décomptes. Des soldats succombent plus tard, notamment de la grippe espagnole contractée au contact des malades. Voire après le représente une part faible des victimes du conflit, les mots employés dans les témoignages à l'égard du gaz de combat sont du registre de l'effroi. Cette arme est horrible, disent-ils. Un médecin-major écrit Les hommes deviennent violets, ils demandent de l'air, se plaignent de brûlures dans la poitrine et dans l'estomac. Nous avions tout vu, les blessures les plus affreuses et les avalanches de fer les plus meurtrières, mais tout cela n'est rien à côté de ce brouillard qui, pendant des heures longues comme les siècles, a voilé à nos yeux l'éclat du soleil. »Face à l'usage systématique de gaz sur les fronts de la Grande Guerre, le Comité international de la Croix-Rouge proteste, rappelant l'interdit. En vain. Véritable faillite morale, civilisationnelle, la Première Guerre mondiale s'impose comme le premier conflit chimique, et l'exemple même de ce que l'on avait tenté d'éviter. Les partisans d'une interdiction redoublent d'efforts pour parvenir à une prohibition des gaz asphyxiants, toxiques ou similaires et des moyens sera acté en 1925 à l’occasion du Protocole de Genève. S'ensuivra un long chemin jusqu'à l'année 1993 et la Convention sur l'interdiction des armes chimiques CIAC, un traité international de désarmement qui interdit la mise au point, la fabrication, le stockage et l'usage des armes chimiques. Ces règles, considérées comme une grande réussite en matière de désarmement, entrent en vigueur le 29 avril 1997 après 20 ans de fois, les règles incluent l'interdiction complète des armes chimiques, la destruction des arsenaux existants et surtout un régime de vérification des engagements pris. Ce régime est placé sous l'égide d'une institution indépendante basée à La Haye, l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques OIAC, qui existe encore de nos jours, rassemble plus de 190 Etats membres et s'est vue décerner en 2013 le prix Nobel de la que le mal, insidieux, demeure. La guerre du Rif, les combats anglais contre les bolchéviques, le choc de la Seconde Guerre mondiale et de la solution finale, les tests de gaz sarin par les Français en Algérie, l'usage de gaz contre des civils à Halabja en Irak, puis au Japon dans un attentat au sarin dans le métro de Tokyo en 1995, démontreront que ces armes au statut particulier continuent de sévir. Jusqu'à la guerre en Syrie, toujours en être sûr qu'un Etat qui dispose de tous les éléments pour fabriquer ou stocker des armes chimiques, n'en a plus ? Question poignante, même en France. Mais également en Russie, pays accusé récemment par Londres d'avoir utilisé des armes chimiques sur le sol britannique. Ou en Syrie, où alors que le régime de Damas a laissé les équipes de l'OIAC et de l'ONU s'occuper de ses stocks déclarés, la BBC a recensé 106 attaques probables entre 2014 et 2018.► Lire aussi A Paris, un Forum sur la paix à la rescousse du multilatéralisme

Unréal de merde, un film pas trop dégueu. 12 films - 5 109 vues Le meilleur du western 92 films - 1 008 vues [Liste participative] Le plus mauvais film de la saga : Dernière manche bonus 20 films - 5 345 vues Ernest et Colette, deux petits Parisiens, passent un week-end en Normandie chez leurs grands-parents. La France entre en guerre et la décision est prise de les tenir éloignés de Paris, le temps de voir venir ». C'est l'argument d'un feuilleton en dessin animé proposé par France 3 jusqu'au 30 avril ► "Les grandes Grandes Vacances" feuilleton d'animation 10x26 min à voir sur France 3 à 10h05 du 20 au 30 avril à revoir sur le site Internet La seconde guerre mondiale vue "à hauteur d'enfant""Les grandes Grandes Vacances" retrace l’histoire de deux petits Parisiens, Ernest et Colette, qui vont vivre la Seconde Guerre mondiale en Normandie chez leurs grands-parents. De 1939 à la Libération, nos deux héros côtoient de nouveaux amis, des ennemis, la petite histoire de tous les jours mais aussi la grande Histoire avec l’Exode, l’arrivée de Pétain puis des Allemands, le rationnement, la débrouille, le Débarquement…Et parce que l’on sait que ce qui captivera notre jeune public, c’est son implication personnelle, son émotion face à l’Histoire, Les grandes Grandes Vacances nous raconte que grandir, c’est affronter la vie, les territoires inconnus, c’est se découvrir pour affirmer qui l’on est et ce à quoi l’on croit, et être prêt à se battre pour le défendre. "Les grandes Grandes Vacances" raconte aux enfants que grandir, c’est faire face à ses peurs et rencontrer les autres. La grande bataille que mènent Colette et Ernest pendant la Seconde Guerre mondiale, ce n’est pas celle des Français et des Allemands, des collabos ou des résistants ; leur grande bataille, c’est celle qui se joue entre enfance et adolescence, entre l’être et le devenir. »Des faits réelsCette série de dix épisodes est basée sur une idée originale de Delphine Maury et Olivier Vinuesa. Les intrigues ont été puisées dans des archives locales, des livres mais aussi dans les mémoires de personnes ayant vécu leur enfance pendant cette période. Des petits témoignages d'une minute sont d'ailleurs proposés à la fin de chaque épisode. Voir le premier épisode et les suivants, ainsi qu'un jeux interactif et des coloriages sur le site Les grandes grandes vacances, série dessin animé Paul Leluc France 3 avril 2015 Fiche signalétique"Les Grandes Grandes Vacances" Sérié d'animation de dix épisodes de 26 minutes Producteur délégué Didier Brunner Coproducteurs Les Armateurs Kirikou et Les triplettes de Belleville et France Télévisions Réalisateur Paul Leluc Scénario et dialogues Delphine Maury, Olivier Vinuesa, Alain Serluppus, Guillaume Mautalent et Sébastien Oursel D’après une idée originale de Delphine Maury et Olivier Vinuesa Graphisme Emile Bravo Etapes de production réalisées à Angoulême Compositing // post production image // 50% de l’animation // modélisation des personnages Plus d'infos sur le site Internet Les armateurs

Aprèsnous le déluge. (1933) de Howard Hawks et Richard Rosson. Film d'action, Drame | 1h30. 57% 6 micro-critiques | Sa note : ianov. “ Aujourd'hui vivre, qu'importe après nous, dans la tourmente et les élans du coeur. Mélo des airs et de la mer, vertige de l’amour en guerre. ” — ianov 25 octobre 2019.

C'est par un court trailer d'à peine une minute que la prochaine production de Sam Mendes Skyfall, de nombreux 007... a été dévoilée au début du mois d'août 2019. Pour l'instant, très peu d'informations ont filtré, si ce n'est le synopsis Pris dans la tourmente de la Première Guerre Mondiale, Schofield et Blake, deux jeunes soldats britanniques, se voient assigner une mission à proprement parler impossible. Porteurs d’un message qui pourrait empêcher une attaque dévastatrice et la mort de centaines de soldats, dont le frère de Blake, ils se lancent dans une véritable course contre la montre, derrière les lignes ennemies. » La bande-annonce en elle-même permet d'en savoir un peu plus. Il va être question entre autre de guerre des mines, mais aussi d'une hypothétique offensive se déroulant en 1917 sans que le spectateur ne puisse pour l'instant déceler des informations à ce sujet. Au niveau du casting, cependant, nous disposons d'un peu plus d'informations ; Mark Strong Jadotville, Imitation Game, Kingsman..., Dean-Charles Chapman Tommen Baratheon dans Game of Thrones, mais aussi Richard Madden Robb Stark dans Game of Thrones ou David Budd dans Bodyguard, Colin Firth et... Benedict Cumberbatch - oui, oui. L'acteur apparaît d'ailleurs dans la bande-annonce en soldat britannique, reconnaissable entre tous ! Pour l'instant, aucune date n'est annoncée, si ce n'est à l'horizon 2020 - ce qui nous laisse encore le temps de découvrir d'autres bande-annonces moins énigmatiques...
1èreGuerre Mondiale – Vidéos pédagogiques – XXème siècle – Cm2 – Histoire – Cycle 3 Petite vidéo de 5 mn retraçant « en gros » la première guerre mondiale sur le front de l’Ouest. Elle se présente sous forme de diaporama de photographies et extraits de film ainsi que des commentaires accompagnés d’une superbe musique.
YOUTUBE Youtube Encyclopédie de la Grande Guerre rubrique Encyclopédie de la Grande Guerre 1914-1918 en une série de vidéos. – Accès direct par mots-clés français et anglais tags Grande Guerre / 1914-1918 / Guerre 14-18 / Première guerre mondiale / Grande Guerre en couleur / World War One / WWI / WW1 Tranchées / Trenches tranchées / Poilus Verdun / Bataille Verdun / Bataille Somme / Somme Battle Attentat Sarajevo / 11 novembre 1918 / Armistice 1918 Chansons Chanson de Craonne / La Madelon – Divers sur Youtube – Chaîne Youtube de la Mission Centenaire – La Première Guerre Mondiale en couleur série de vidéos – Education WebTV Plusieurs vidéos en audio évoquent différents aspects et plusieurs batailles de la Grande Guerre Verdun, Marne, Chemin des Dames. DAILYMOTION – Accès direct par mots-clés français et anglais tags Grande Guerre / 1914-1918 / Guerre 14-18 / Première guerre mondiale / WW1 Film de 26 min. d’images d’archive publié à l’occasion du 89ème anniversaire de l’Armistice de 1918 Bataille Verdun / Somme bataille-battle / 11 novembre 1918 – Document Mourir à Verdun » partie 1 – partie 2 – partie 3 – partie 4 INA Institut National de l’Audiovisuel – Paroles de poilus – journal 13H. de France2 2min11s – Guerre en 1914 1min11s – Anniversaire de la bataille de la Marne et rétrospective 14-18 11min49 – Ce que fut la bataille de Verdun 3min55s – Guerre de 1914-1918 engagement des communautés immigrées 3min46s – Déjà une caméra 11 novembre 1918 à Strasbourg 5min1s – Il y a 50 ans prenait fin la Première Guerre mondiale 5min43 – L’aviation à Verdun 4min56s – Fresque INA de vidéos sur 14-18 dossier Fresque interactive de vidéos sur la Grande Guerre. Vidéos INA payantes – Des valses 1900 aux canons de la Grande Guerre 52 min – Petite chronique du Montparnasse pendant la guerre 14-18 52 min – Mourir au champ d’honneur – Emission Apostrophe >> CHAÎNES TV – série de vidéos sur la première guerre Apocalypse documentaire en 5 parties – vidéos sur la Guerre 14-18 via Google >> DIVERS – La vie au front / La vie à l’arrière – Imineo via Youtube Documentaires vidéos 14-18 documentaires complets en vidéos, thèmes multiples, sur la Grande Guerre. – Université d’Oxford Collection de vidéos sur la 1ère Guerre thèmes divers – moteur de recherche et classement par mots-clés. – ECPAD cinéma des armées fonds sur la 1ère Guerre Mondiale plusieurs vidéos, thèmes variés. – Après les combats de Bois-le-Prêtre , vidéo rare sur la réalité de la Guerre exhumée un siècle après et publiée sur le site de la Mission Centenaire. Histoire de sa découverte dans cet article du Monde. Archives françaises du film projet EFG1914 dossier Archive du CNC d’une centaine de titres films contemporains du conflit et tournés à posteriori actualités, fictions ou pamphlets, animations ou reconstitutions. Court métrage vidéo Je suis un No Man’s Land » adaptation d’une anecdote de la première guerre mondiale en court métrage dans le cadre du festival Nikon. European Film Gateway EFG dossier Archive de films rares digitalisés sur la 1ère guerre et originaires de tous le pays du monde documentaires, propagandes, fictions, etc.
Cetarticle présente une liste de films ayant pour sujet, la vie des soldats et des civils pendant la Première Guerre mondiale . Films sur la Première Guerre mondiale (Liste non exhaustive ) Charlot soldat (1918), film muet burlesque de Charlie Chaplin, montrant en particulier la vie des soldats dans les tranchées ;

Dernier volet de ce rapide tour d'horizon des films les plus importants, en ce centenaire de l'armistice de 1918. 1989 La Vie et rien d'autre de Bertrand Tavernier. Le film se situe en novembre 1920. La Première Guerre Mondiale est achevée depuis deux ans. La France panse ses plaies et se remet au conflit s’est interrompu, mais les plaies profondes qu’il avait ouvertes ont demeuré, béantes, dans les périls d’une terre ravagée, dans les meurtrissures d’une chair mutilée, ou dans les tourments d’une mémoire traumatisée. Irène, une grande bourgeoise parisienne part à la recherche de son mari, porté disparu au front. Sa route croise celle du commandant Dellaplane, qui dirige le Bureau de recherche et d'identification des militaires tués ou disparus. Perrin, un collègue du commandant, est pour sa part chargé de dénicher la dépouille d'un soldat inconnu, qui sera enseveli au pied de l'Arc de triomphe. Dellaplane apporte aussi son aide à Alice, une jeune institutrice qui a perdu son fiancé. Bertrand Tavernier tente la résurrection d’une population enfouie, enterrée par l’histoire institutionnelle, et par des autorités politiques ou militaires qui avaient intérêt à minimiser l’ampleur du drame démographique. 2001 La Chambre des officiers . En août 1914, aux premiers jours de la guerre, Adrien, un jeune lieutenant, part en reconnaissance à cheval. Un obus éclate et lui arrache le bas du visage. La guerre, c'est à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce qu'il la passe, dans la chambre des officiers. Il est le premier à occuper cette pièce à part réservée aux gradés atrocement défigurés par leurs blessures. Il est bientôt rejoint par de nombreux officiers qui réagissent, chacun avec leurs personnalités aux souffrances qu'ils subissent. Dans ce film, François Dupeyron dénonce bien sûr les atrocités de la guerre, mais s'intéresse en priorité aux réactions individuelles devant la perte d'identité que constitue une mutilation grave. Dans cette situation, les premiers temps sont une lutte contre la souffrance physique, mais une fois que celle-ci devient moins aigue, il faut affronter le regard des autres, des proches, mais surtout son propre regard. 2005 Joyeux Noël de Christian Carion. La première année de la guerre, Noël 1914 arrive avec son cortège de cadeaux venant des familles et des états-majors. Mais l'impensable se produit pour quelques instants, on va poser le fusil pour aller, une bougie à la main, voir celui d'en face, pourtant décrit depuis des lustres, à l'école aussi bien qu'à la caserne, comme un monstre sanguinaire, et, la musique coutumière des chants de Noël aidant, découvrir en lui un humain, lui serrer la main, échanger avec lui cigarettes et chocolat, et lui souhaiter un joyeux Noël », Frohe Weihnachten. Le film rassemble plusieurs épisodes historiques de fraternisation, survenus en différents endroits du front à la Noël 1914. Tous sont attestés par différents témoignages et preuves historiques. Tout est authentique dans ce film issu d'un travail d'exploration des archives. Deux films récents renouvèlent le genre 2017 Les Gardiennes de Xavier Beauvois. En août 1914, dans une ferme des Deux-Sèvres, Hortense Misanger voit partir ses deux fils Georges et Constant et son gendre Clovis. Le mari d'Hortense, Claude est usé par le travail et n'a plus la volonté de continuer. Dotée d'une grande énergie et d'un caractère particulièrement autoritaire, Hortense va se dépenser sans compter et imposer implacablement sa volonté à son entourage au mépris des conséquences et du bonheur réel des membres de sa famille. La singularité du film se déploie, en décalage de tous les films centrés sur les poilus et les tranchées. La narration est hors du temps, pendant des saisons, des années. Ces vies suspendues à une éventuelle mauvaise nouvelle, qui arrive par l'intermédiaire du maire, chargé d'annoncer les décès, et toutes les échéances sont reportées à un hypothétique après la guerre », prononcé comme une formule magique. Quand les hommes reviennent pour une permission, ils sont fantomatiques, hagards, hantés par la barbarie des combats, les seules scènes de guerre proviennent de leurs cauchemars. 2017 Au revoir là-haut d' Albert Dupontel. En novembre 1920, Albert Maillard est interrogé par un officier de la Gendarmerie française, au Maroc. Il raconte la fin de sa participation à la Première Guerre mondiale, sa rencontre avec Édouard Péricourt, fils de bonne famille parisienne défiguré lors du conflit. Ensemble, ils montent une opération d'escroquerie. L'histoire suit également Henri d'Aulnay-Pradelle, leur ancien lieutenant va-t-en guerre devenu lui aussi escroc et qui est parvenu à intégrer la famille Péricourt, dont le patriarche règne sur la classe politique parisienne. Albert Dupontel s’en donne à cœur joie pour dénoncer les ravages du patriotisme et le cynisme des puissants. Sa virulence politique est indissociable d’une profonde tendresse pour les marginaux. Le cinéaste aime le burlesque mais n’a pas peur du mélo, il réussit à rendre très émouvantes des scènes qui, sur le papier, avaient tout pour être ridicules. Albert Dupontel réalise de formidables trouvailles visuelles, à travers la collection de masques portés par Édouard pour cacher sa gueule cassée, tout l’art moderne et la culture populaire du début du XXe siècle défilent. Les Gardiennes de Xavier Beauvois

Lesclasses de 3e2 et de 3e7 ont achevé cette semaine leur projet “La Première Guerre mondiale en mots et en images”. Depuis le mois de septembre, les élèves de 3e2 et de 3e7 travaillent en parallèle de leurs cours de Français, d’Histoire et d’Anglais sur une sélection de romans de littérature jeunesse, de films et de bandes dessinées sur le thème de la Cela aura mis du temps, mais nous l'avons enfin notre film sur la Première Guerre mondiale ! La Peur est un film franco-canadien réalisé par Damien Odoul, récent Lauréat du Prix Jean Vigo 2015. Le film se base sur les témoignages de Gabriel Chevallier, publié en 1930. Il s'agit du récit d'un jeune homme racontant son expérience de poilu au cours de la Première Guerre mondiale. Dans le film, Gabriel est interprété par Nino Rocher, encore inconnu du grand public. Voici la bande-annonce du film qui sortira dans les salles le 12 août prochain. cNUSTFX. 44 30 277 383 175 303 314 267 300

film sur la première guerre mondiale